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Pourquoi choisissons-nous un maître ?

Publié le par Laurence-Traineau

Depuis la nuit des temps, nous imaginons que Dieu (énergie) est une force extérieure à nous. Seul Dieu est là pour répondre à nos demandes ou exaucer nos prières. Cette croyance pourrait certainement avoir des conséquences sur notre besoin à nous trouver absolument un maître à adorer.

Et c'est ainsi que nous sommes sous son emprise, prisonnier(e) de l'adoration que nous lui portons. Et ce maître pourrait être n'importe qui, votre amoureux(se), votre patron(ne), votre star préférée, une religion, un gourou etc. 

Imaginons que nous vivions nos relations en croyant fortement que les autres sont là pour exaucer nos désirs, ils ont le pouvoir de le faire, ils sont Dieu, nos maîtres et nous de simples disciples impuissants croyant que seul notre maître  pourra réaliser nos rêves.

Découvrons Jean-Marc et Émilie, mariés depuis 18 ans. Ils ont l'un et l'autre 38 ans. Jean-Marc imagine que son épouse a le pouvoir de transformer sa vie. Il veut cesser d'être boulanger pour devenir kinésithérapeute. Émilie adore son mari, il est le meilleur boulanger de la ville. Elle rêve d'ouvrir la plus  grande boulangerie de New York. Le pain de son époux adoré se vend comme des petits pains. (Sourire, le jeu de mots était facile).

En parlant de jeux de mots, partons à la découverte des jeux de maux de ce couple marié, habitant en Loire-Atlantique.

- Ma chérie, j'aimerais changer de métier,  j'adore pétrir. Mon rêve serait d'être Kinésithérapeute.

- Mais mon amour, tu es un excellent boulanger. Tout le monde vient t'acheter ton pain. Tu es le meilleur boulanger de la ville.

- Je suis fatigué de mon travail. Je veux faire une pause. Reprendre des études, j'ai besoin de ton soutien, j'embauche un boulanger et tu gères l'entreprise.

- Nous avions parlé d'ouvrir une boulangerie à New York dans deux ans après le baccalauréat de Léa.

- J'ai besoin que tu m'encourages. J'ai besoin de toi pour réaliser mon rêve.

- J'ai besoin de toi, Jean-Marc pour réaliser mon projet de vie. (Celui d'être l'épouse du plus grand boulanger de New-York et pourquoi pas de l'Amérique toute entière voire du monde entier, se dit-elle à elle-même).

Jean-Marc imagine que sans le soutien de son épouse, il ne pourra pas y arriver et Émilie imagine que sans son titre (celui d'être l'épouse d'un célèbre boulanger), elle ne sera rien. L'un et l'autre croient que Dieu est à l'extérieur d'eux-mêmes, ils s'en remettent l'un à l'autre pour exaucer leurs prières. Si Dieu (force) était en eux, ils n'auraient pas besoin d'être sous l'emprise d'un maître, ils seraient maître de leur existence.

Jean-Marc pourrait reprendre ses études sans avoir recours à l'approbation de son épouse et Émilie pourrait devenir ce qu'elle a toujours rêvé d'être depuis qu'elle est petite, baroudeuse. Mais elle n'est pas Dieu (elle n'est pas cette force, selon elle) et dans sa famille, être  baroudeur, ce n'est pas un métier. Ils ont la croyance l'un et l'autre que sans cette force extérieure, leur rêve ne pourra jamais se réaliser.

Alors que sont devenus notre charmant couple quatre ans plus tard ? Ils ont perdu leurs rêves. Ils ont gardé la boulangerie et Jean-Marc est toujours le meilleur boulanger de la ville et Émilie, l'épouse du meilleur boulanger en Loire Atlantique.

Heureusement, une fois dans l'année, ils vont se reposer dans un grand hôtel quatre étoiles dans le monde entier. Cela s'appelle la compensation. Si nous ne voulons plus être sous l'emprise de quelqu'un, pourquoi ne pas essayer de projeter sur le monde de nouvelles croyances, telles que d'imaginer pour commencer que nous sommes tous à la fois mi-humain mi-dieu et personne à part nous, ne peut exaucer nos prières.

Nous sommes la vie. Et le paradis sur terre, c'est quand soudainement, nous sommes ouverts au trésor qui se loge au creux de notre âme  brûlante d'énergie, ce trésor, c'est notre connexion à la vie que nous portons tous dans nos milliards de cellules. Nos cellules auraient en mémoire l'origine de l'Uni-vers, vers l'infiniment grand et l'infiniment petit. Un miracle. La vie bouillonnante. Croyez ce que vous voulez, vos croyances sont entendues. Chut, écoutons-les !

Laurence Traineau "L'emprise" 4 février 2019   

Photos : Shutterstock-psychologue.net

Croyez ce que vous voulez.
Croyez ce que vous voulez.
Croyez ce que vous voulez.

Croyez ce que vous voulez.

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À force de mal aimer

Publié le par Lorens56100

Qui autorisons-nous pour de vrai à rentrer dans notre cœur ?
Peu de personnes, au final.
Nous passons notre temps à nous croiser.
Nos relations sont en général superficielles. 
"Bonjour, comme vous êtes joli, comme vous me semblez beau, comme vous me semblez bon à exploiter...".
Et oui, à force d'être exploités et abusés, la méfiance et la peur se sont installés en empêchant ainsi un rapprochement aimant, confiant et sincère entre nous.
Combien de personnes ont profité de ma gentillesse et combien m'ont mis à distance dès que je m'approchais un peu trop d'elles de peur que je découvre leur faux-semblant et leurs mensonges par dizaine.
Notre pandémie actuelle est à cette image.
Nous mettons la bonne distance pour ne pas prendre le risque d'être perturbés dans nos habitudes et nos bulles de protection aseptisées.
À force d'avoir été utilisés, négligés, chosifiés, maltraités, zappés, oubliés, nos cellules se sont figées dans la peur et la douleur.
À force d'avoir été piétinés, nous avons mis tout un équipement de protection et de défense pour ne plus ressentir la souffrance et le manque.
À force de se blinder, nous avons mis des frontières et des barrières entre nous.
Le confinement actuel est à l'image de nos fonctionnements.
Nous mettons la distance.
Trop de méfiance.
Nous ne pouvons plus donner notre confiance.
"C'est la guerre", en effet, depuis que l'humain se croit maître sur Terre alors qu'il n'est qu'un serviteur qui se doit de protèger les richesses pour les glorifier et les partager.
Rien ne lui appartient.
Tout revient à la terre.
Nous finissons tous poussière.
Nous ne sommes que de passage, alors pourquoi ne pas mourir de rire plutôt que de mal à dire ?
Aujourd'hui, nous mourons asphyxiés.
Les poumons sont touchés.
L'air est vicié dans nos cages dorés ou insalubres.
À force de mal aimer...

Lorens56100,

"À force de mal aimer"
13 avril 2020

Tout revient à la terre.
Tout revient à la terre.
Tout revient à la terre.

Tout revient à la terre.

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Pandémie, j'ai compris la leçon.

Publié le par Lorens56100

Pandémie, j'ai compris la leçon."

Les agressions extérieures, j'en ai subies depuis mon premier souffle de vie.
Trop de bruits
Trop de cris 
Trop de critiques 
Trop de gestes indélicats 
Trop de mots blessants  
Trop de profits
Trop d'injustice 
Trop de blessures gratuites
Trop de coups bas
Trop de poisons
Trop d'égoïsme 
Trop de guerre
Trop d'exploitation 
Trop de négligence 
Trop d'indifférence 
Trop de mensonges 
Trop de silence 
Trop d'incompétence 
Trop de pollution...


Covid-19, j'ai compris la leçon.
Les agressions extérieures, j'en ai reçues par milliers, et je m'y suis habituées.
Je suis moi-même devenue une agression, un poison qui injecte chaque jour du co2 à foison avec ma voiture super stylée.
Je suis devenue une agression qui consomme des produits en quantité bon marché pendant qu'à l'autre bout du monde des enfants et des familles sont exploités pour satisfaire mes plaisirs instantanés.
Covid-19, j'ai compris la leçon.
Tant que j'accepterai les agressions autour de moi, je cautionnerai le meurtre planétaire.
Covid-19, tu tues des milliers d'humains alors que nous super consommateurs, nous tuons par millions des animaux pour nos ventres jamais rassasiés.
Covid-19, j'ai compris la leçon.
Je choisis de ne plus tolérer l'inacceptable, de me relever avec dignité et de regarder chaque être vivant comme un roi et une reine dont il est vital de protéger son royaume sacré.
Notre planète à tous, c'est notre unique bien précieux à honorer.

Lorens56100.
"Pandémie, j'ai compris la leçon", le 12 avril 2020.

La Terre, un bien commun précieux à honorer
La Terre, un bien commun précieux à honorer

La Terre, un bien commun précieux à honorer

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Je suis un virus

Publié le par Lorens56100

Le virus, c'est comme les humains, il fait des gros dégâts sans le savoir.
Où qu'il aille, il détruit tout sur son passage.
Mais pendant ce temps là, il continue de se balader à travers le monde comme si de rien n'était.
Un touriste quoi !
Un bon con-sommateur qui se croit malin et plus fort que les autres.
Regardez moi, comme je suis beau et fort, je suis le maître du monde.
Même pas coupable, je peux continuer le massacre.
Je suis un virus parmi des milliards de virus.
Qu'est-ce que l'on fait ? 
On s'extermine ou l'on s'apprivoise ?
Eh ben, jouons à pile ou face.
Méchant contre gentil avec un héros à applaudir ou à sacrifier sur un champ de bataille.
Comme je ne suis ni chanteuse ni musicienne, je veux bien partager ces quelques mots à celle ou celui qui voudrait bien en faire une chanson.
Elle prouvera que tous les virus du monde entier peuvent s'apprivoiser.
Si on accepte de comprendre que le maître du monde, c'est la vie dans chaque cellule vivante.
Notre planète bleue, nous en avons fait un enfer à vouloir tant la maîtriser.
Solidarité bienvenue avant que tout soit fichu.

Laurence Traineau "Je suis un virus" 5 avril 2020.

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Responsable

Publié le par Lorens56100

Responsable, je suis adulte et j'assume mes erreurs et mes lâchetés.
Responsable, je prends à ma charge mes besoins, mes désirs et mes rêves.
Responsable, je réalise mes multiples tâches quotidiennes.
Responsable, je transforme mes tâches en fruits abondants et savoureux.
Responsable, je vois derrière l'illusion du bourreau, mon enfant submergé par la peur.
Je vois derrière l'illusion de la victime, mon enfant affamé d'attention.
Je vois derrière l'illusion du sauveur, mon enfant assoiffé de reconnaissance et d'amour.
Responsable, je soigne mes blessures et comble mes manques.
Responsable, je cesse de diaboliser le monde, je ne suis ni juge, ni procédurier, ni un enfant de cœur, j'apprends le monde, j'apprends à le respecter.
Responsable, j'ouvre la porte du présent et je meurs au passé.
Responsable, j'accueille ma renaissance, je suis ce que je veux être, un adulte amoureux et un enfant curieux et joyeux.

Aujourd'hui, je me sens inspirée, solide et à mon aise avec vous, vous qui êtes accueillants, généreux et responsables.

Et vous, qui me lisez,
Comment vous sentez vous ?

Lorens56100
"Responsable"
Le 29 mars 2020

Responsable
Responsable
Responsable
Responsable

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Je m'amuse comme une gamine.

Publié le par Lo riante 💃😀❤


J'adore me raconter des histoires pour me faire du bien. Et ça me donne en plus une pêche d'enfer.
Dans mes histoires, tout m'est permis.
Par exemple, je m'imagine dans ma grosse voiture  flamboyante rose fuchsia.
Je me la pète à donf comme la poupée Barbie avec Ken à ses côtés !
Je joue aussi au boulanger, je fais du bon pain chaud et croustillant.
Je m'amuse à en faire depuis début août et mon pain commence enfin à ressembler à du vrai pain.
Si, si, croyez moi, ce n'est pas du bla bla.
Même que mes garçons, le trouvent super bon et me disent "Mamour, ton pain, il ressemble trop au pain du boulanger du village d'à côté. Il est trop trop bon !"


Je m'amuse aussi à être sauvage comme Tarzan.
Je veux apprendre à voler dans les airs, aller de liane en liane, je veux être aussi libre que lui.
C'est pas gagné mais je m'y amuse sérieusement.


Et la vie est si courte.
Amusons-nous !
Et comme dirait si bien une amie clown que j'aime beaucoup.
"Pète un coup et tu verras ça va beaucoup mieux quand on ne pète pas plus au haut que son cul."


Ben quoi ?
Adultes, on n'aurait plus le droit de s'amuser à péter ?
Ben moi, je m'en fous, je m'amuse comme une gamine!
Et vous savez quoi ?
Je suis dingue et je le vaux bien !
C'est surtout que ça me fait trop top du bien !
Hum, qui va manger le bon pain de Lo riante ?
C'est mes adorables garçons et moi !

 

Lorens56100, "Je m'amuse comme une gamine", 30 novembre 2017

Je me prends pour tarzan.
Je me prends pour tarzan.
Je me prends pour tarzan.
Je me prends pour tarzan.
Je me prends pour tarzan.
Je me prends pour tarzan.
Je me prends pour tarzan.
Je me prends pour tarzan.

Je me prends pour tarzan.

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Je suis née vampire.

Publié le par Lorens56100

Depuis que je suis née, je suis con-somm-atrice, ma mission est de con-sommer encore et toujours plus, je suis une actrice conne et endormie, je suis une marionnette manipulée par son instinct de survie. Je suis née vampire, je bouffe et m'abreuve à tous les râteliers et dès que je n'ai plus rien à portée de main, je crie, je pleure, je rue dans les brancards.

Je suis une vampire, vite, vite, donnez-moi du sang, de la chair fraîche, du consistant avant que je me me dessèche complètement.

Je suis une vampire, donnez-moi avant que le vide m'engloutisse et me fasse disparaître de la surface de la Terre. Oui, je reste en surface, je ne vais jamais plus loin de peur de découvrir des sensations désagréables à ressentir. Je ne veux surtout pas que la frustration, la douleur, la souffrance, le désespoir s'emparent de moi. Alors je préfère poursuivre ma course folle et sanguinaire, demeurée sans pitié, monstrueuse, diabolique.

Je suis née vampire, je suis née pour con-sommer et détruire. J'évite la lumière, elle risquerait de me faire disparaître à tout jamais. Je suis vampire et ma mission est de bouffer et boire à tout va, je suis insatiable, j'ai toujours faim et soif.

Je suis vampire, je suis née con-somm-atrice et si je meurs, je ris, je ris, la Terre mourra avec moi. Je suis vampire, il n'y a pas pire que moi.

Je suis vampire, j'aspire, je vampirise, je suce jusqu'au trognon les trésors de la Terre. Je l'exploite, je la mutile, je la massacre, je la maîtrise, je me l'approprie, je la déglutis. Ma soif est illimitée, je suis une assoiffée, une vampire sanguinaire.

Et tant que la Terre vivra, je survivrai et si elle doit mourir demain, ce sera mon heure de mourir avec elle. Ce sera la fin de ma faim.

Je suis née vampire, je suis née pour détruire.

 

Lorens56100, "Je suis née vampire", le 24 janvier 2018

je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .
je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .
je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .
je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .
je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .
je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .
je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .
je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .
je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .

je suis une affamée, je suis con-somm-atrice .

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suite " Tairien, t'es rien sans la Terre/Mère"

Publié le par Lorens56100

Nous expérimentons l'amour charnel dès que nous aimons profondément celui ou celle qui nous fait vibrer. Notre fil de naissance que nous appelons le lien énergisant nous le signale par le bien être intense que nous ressentons au contact ou à la vue de l'être aimé(e).
Celui(ceux) ou celle(s) qui nous font vibrer intensément sont ceux ou celles que nous choisissons de faire rentrer dans notre vie car ils ou elles seront les plus bénéfiques à nous rendre heureux.
Tant que la vibration n'est pas ressentie, nous choisissons d'être seul(e).
Nous ne sommes jamais excité(e) par un corps mais aimant(e) pour la ou les personnes qui nous font vibrer.
Nous sommes plein de tendresse et de délicatesse infinie.
Nos caresses et nos mots sont doux et enveloppants. Pas besoin de drogue pour nous évader.
Nous sommes heureux ensemble, nous rions et chantons tous les jours le coeur léger. Tout nous amuse. La vie est si délicieuse sur notre Délicate planète verte.

Oh oui, qu'il est bon de vivre dans ma Mèreveilleuse planète.
Je vous souhaite des rêves et de les réaliser sur une Terre/Mère protectrice qui vous envelopperait de toute sa belle énergie bienfaisante.
Au lieu d'aimer, vous vous entre-tuez à coup de mots assassins ou de reproches ou bien encore en rejetant ceux ou celles qui ne vous ressemblent pas ou ne partagent pas vos idées.
Je suis triste de vous savoir si malheureux sur votre jolie planète bleue.

Sur la planète Délicate, nous sommes vibrants et vivants et toujours alliés et reliés les uns aux autres.
Pourquoi Tairiens, n'avez vous pas songé à transformer votre planète Taire en Terre/Mère en vous laissant bercer par le chant mélodieux de l'amour qui caresse votre âme.
La Terre vous enveloppe telle une mère protectrice.
Vous êtes aimés.
Et je vais de ce pas aimant faire un autre rêve pour retourner au plus vite dans ma MèreVeilleuse contrée.
C'est l'unique moyen que nous avons pour voyager à des années lumière et c'est ainsi que je vous ai rencontrés et je ne vous cache pas que cela m'a bouleversé de vous savoir si tourmentés et en mauvaise santé.
Votre planète pleure et souffre d'être si mal aimée.

Pourquoi ai-je atterri jusqu'à vous, Tairiens ? (Pour être franche avec vous, votre planète n'est pas le lieu rêvé pour passer mes vacances.) Parce qu'une petite fille de votre planète m'a appelée de ton son petit coeur pur et a surgi dans un de mes rêves. Elle ne veut pas mourir sur votre planète Taire alors, je viens de temps à autre lui offrir un nouveau souffle de vie en lui offrant ma Délicate oreille sensible.

Douuceetteeee, âgée de 96 ans (mais sur votre planète, j'en paraîtrais 50 ans). Je suis aimée et reliée à plus d'un millier de Délicatiens qui m'aiment vraiment, alors vous pouvez imaginer la super forme que je nourris depuis le jour où la vie m'a créée. Et c'est loin d'être un exploit, c'est normal par chez nous, nous sommes tous Délicatiens les uns envers les autres. Il n'y a pas de guerre sur notre planète, la vie est trop précieuse à nos yeux  pour la piétiner sans pitié.

Lorens56100, "Tairiens, t'es rien sans la Terre/Mère", novembre 2017

son petit coeur pur
son petit coeur pur
son petit coeur pur
son petit coeur pur
son petit coeur pur
son petit coeur pur

son petit coeur pur

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Tairien, t'es rien sans la Terre/Mère !

Publié le par Lorens56100

Je vous ai vus dans un de mes rêves.


Vous Tairiens, vous vous demandiez comment nous réussissions à vivre si bien entre nous, nous les Délicatiens.


Je vous répondais :
"C'est simple comme de dire Bonjour !
Nous naissons avec un fil invisible qui nous relie à ceux qui nous aiment.
Pas besoin de mot. Dès qu'un Délicatien vous aime, vous le savez grâce aux  vibrations qui circulent entre vous deux et cette vibration est énergisante et réparatrice.


Sur notre planète, pas besoin de médicaments ou de pilules. Nous sommes toujours en bonne santé puisque nous sommes reliés depuis notre naissance au fil de l'amour qui crée en chacun de nous cette vibration bienfaisante.
Le hasard a fait que j'ai fait ce rêve et je vous ai vus, Tairiens avec votre âme en peine et j'ai ressenti une si grande tristesse en découvrant votre faible état vibratoire.


J'avais l'impression de voir des morts qui ne savaient pas qu'ils l'étaient déjà.
Vous faisiez les choses en n'habitant ni votre corps ni votre esprit, comme si votre seule liberté était de fuir ailleurs, vous imaginant tous qu'ailleurs, c'est bien meilleur.
C'est comme si vous étiez à vivre à côté de vous-mêmes sans jamais vous rencontrer pour de vrai."

Vous avez des relations superficielles par intérêt et en pagaille mais des rencontres vibrantes et vivantes, presque jamais.
Je suis si triste pour vous.
J'aimerais tous vous aimer pour vous offrir le meilleur des remèdes : la vibration de l'amour.
Chez nous, elle est en abondance comme l'oxygène. Il n'y a qu'à se servir. C'est gratuit.


Chez nous, nous mourons de vieillesse jamais de maladie ou de chagrin et nous mourons quand notre corps le décide après avoir tant joui des cadeaux de la vie. Notre espérance de vie sur notre planète est de 150 années.
Un jour nous quittons notre corps mais ceux qui nous aiment, ils nous gardent à tout jamais dans leur être tout entier. Nous continuons de grandir en eux.

Il faut savoir que sur notre planète, c'est la femme qui abrite l'enfant à venir pendant 12 mois. Durant le temps de sa grossesse, elle est considérée comme une reine.


Pendant ces 12 mois, elle fait ce qu'elle veut.
Nous n'avons pas beaucoup d'enfant car pendant 10 ans nous nous consacrons essentiellement à l'éducation de notre enfant ou de nos enfants gémellaires qui ne va pas ou ne vont pas à l'école. C'est toute la famille qui s'en occupe.
C'est tous ensemble que nous l'éduquons.
Après ses dix ans, il apprendra en observant tous les trois mois des métiers passionnants et différents et cela pendant dix ans.
A vingt ans, il choisit le métier qu'il aime et le genre. Il peut être un homme dans un corps de femme ou une femme dans un corps d'homme. Rien n'est figé. On sait à vingt ans si le féminin ou le masculin l'emporte. J'étais un petit garçon très féminin, mon enveloppe est celle d'un homme mais mon esprit est celui d'une femme.
La nature fait bien les choses. Nous nous trompons rarement, nous sommes toujours heureux de notre choix.
C'est la div
ersité qui nous enrichit.


On aime avec passion le métier que nous choisissons.
Pas besoin de diplômes ou d'user nos fonds de culotte sur les bancs des écoles, on choisit et on apprend le métier que nous voulons avec un professionnel passionné.
Nous apprenons tous les jours.
Notre curiosité n'est jamais rassasiée.
Personne n'est marginalisé ou rejeté. Tout le monde trouve sa juste place car nous avons tous besoin des uns des autres.

L'argent ne pose pas un problème. Quand nous avons besoin de quelque chose nous le fabriquons nous-mêmes avec nos proches qui nous font partager avec bonheur leurs connaissances et leur savoir-faire.


J'habite dans une très belle maison que j'ai construite avec mon amoureux, mon frère et des amis communs.
Nous avions 28 ans. Avant, je vivais dans la maison de mes parents qui sont  monogames mais certains d'entre nous sommes polygames. Il n'y a pas de règles. On fait confiance à notre élan de coeur. Quand on aime, on ne compte pas. On respecte les choix des uns et des autres. Et pour élever des enfants, c'est plus facile à plusieurs que seul(e). Je plains les enfants Tairiens qui sont élevés sans leurs parents
qui ne sont jamais auprès d'eux. Les Délicatiens sont omniprésents dans l'éducation de leurs enfants.


Je suis triste aussi quand je vous vois Tairiennes partager votre vie avec des hommes qui vous traitent comme des esclaves ou de simples mères porteuses mais jamais comme des reines.

 

La Terre/Mère protectrice.
La Terre/Mère protectrice.
La Terre/Mère protectrice.
La Terre/Mère protectrice.
La Terre/Mère protectrice.
La Terre/Mère protectrice.

La Terre/Mère protectrice.

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Oh mon amour !

Publié le par Lorens56100

Oh mon amour !

Quand je te cherche, tu me nargues et plus je te cherche et plus tu m'échappes.
Quand je ne te cherche plus, tu apparais par surprise avec la venue d'un coup de fil d'un vieil ami, d'un poème tendre, d'un sourire enveloppant, d'un parfum enivrant ou par le simple chant d'un oiseau qui exprime son bonheur de jouir de sa belle envolée grisante.


Oh, mon amour ! Quand je ne te cherche plus, mon coeur au repos bat lentement et tranquillement, il s'ouvre. C'est dans cette ouverture douce et innocente que la magie opère. Soudainement,  je suis reliée à toi. Je suis remplie de toi.
Je m'ouvre à l'intensité de la vie qui est en moi.


Oh, mon amour ! Je te ressens au plus profond de mon être en m'éveillant à ce qui est là.


Oh, mon amour ! Je t'ai trouvé. Tu es là dans cet instant présent au plus profond de mon âme. Je comprends enfin pourquoi j'ai tant besoin que mon corps recherche celui que j'aime. J'ai l'illusion d'être remplie par mon amoureux, alors que c'est l'amour en moi qui me comble de bonheur.


Un amant de passage laisse toujours en moi un goût amer de solitude.
L'amant de passage me fait croire que je ne suis pas digne d'être aimée car j'ai cédé à l'illusion que le sexe me rapproche de la source d'amour.


Oh, mon amour ! Tu es là quand tu me berces de toute ta tendresse infinie.
Le sexe sans l'amour est tel un puits sans eau. Ma source d'amour ne circule plus.
Ma source tarit.

Oh, mon amour! Je te suis fidèle et dévouée. Je reste à l'écoute de toi, ma source et je suis là, au plus près de toi et je te protège de tout intrus qui oserait te souiller. Je sais que toi, ma source, tu es fragile et précieuse. C'est toi qui m'apporte le goût de vivre et d'aimer. Je prends soin de toi et je te laisse librement jaillir de tout ton éclat pour créer en moi une douce mélodie vibrante et harmonieuse.


Oh, mon amour! Je suis vivante et infinie tant que je me laisse vibrer par toi.
Oh, mon amour ! Sans toi, la vie est amère et douloureuse.
Je suis ta douce amoureuse pour te servir, toi ma reine. Je veille sur ton royaume.
Sois rassurée.
Je t'offre de douces journées ensoleillées, ma bien aimée.
Aucun intrus de passage pour te gêner dans ta joyeuse traversée.
Oh mon amour !

Lorens56100, "Oh, mon amour !", 22 janvier 2018

Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !
Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !
Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !
Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !
Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !
Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !
Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !
Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !
Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !
Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !

Toi, ma reine, ma bien aimée ! Je suis là pour te servir !

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